Une image, mille mots et des baffes qui se perdent | Cases rebelles

Voilà, encore une fois un imbécile a partagé une image horrible sans avertissement. Je n’ai pas eu d’autre alternative que de la voir surgir sur mon écran dans toute sa brutalité. Maintenant l’image m’obsède ; elle revient en flashs quand j’essaie de manger. Elle sautille sur le fil de ma raison.

Même en dehors de ce qu’elle me fait à moi en particulier du fait de mes traumas et mes névroses, je pense que cette image, comme toutes les images ou les vidéos, montrant des morts, des personnes en train de mourir, d’être battues ou torturées n’ont aucune raison de circuler ainsi librement, en ligne ou ailleurs.

Si vous avez besoin d’images pour comprendre, faire comprendre ou accepter la réalité d’une violence, questionnez-vous sur votre empathie.

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